Andalousie, tu me manques,
d’ailleurs je dois avouer que tu es la seule chose qui me manque dans cette période au rythme de fou, au travail de fou,
le bleu de ton océan,
tes plages balayées par le vent,
tes pins ombrelle, tes palmiers,
ton odeur de sel et de sable, tes pueblos blancos, tous différents, tous superbes,
tes petites ruelles labyrinthes dans cette petite ville andalouse dont j’ai oublié le nom,
la quiétude de tes couchers de soleil,
le goût acidulé de tes olives et de tes verres de cava,
ton soleil,
ton moulin sorti du livre de Cervantès,
le bleu de ton océan et les grands horizons.
Prendre la route vers Faro, te quitter une seconde pour mieux te retrouver plus tard,
s’arrêter sur cette terrasse portugaise au bord de l’océan,
la clé de sol dessinée en chocolat sur la mousse de mon capuccino.
Faro
Faro, tes couleurs, ton ambiance et nos yeux qui pétillent,
Faro, là où l’océan finit et la terre commence.
Se laisser porter par tes ruelles et ta lumière,
manger de la poulpe et boire du cava dans ce resto sur cette place,
s’étonner devant cet escalier art nouveau en colimaçon,
rencontrer l’océan,
respirer fort, regarder devant,
revoir l’océan une dernière fois,
écouter les vagues
nous parler d’hier et de demain.
Faro – Algarve
Islantilla – Andalousie
Novembre 2025
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